KLODIN ERB, "le visage du mouton" solo show du 10 mai au 30 juin.
MURO
- 37 Chemin Jacques-Philibert de Sauvage - Vernier - Genève
- http://www.murogallery.com/
'''MURO''' présente '''Klodin Erb''' en collaboration avec la galerie zurichoise ROTWAND.
Klodin Erb présente une vingtaine de peintures produites spécialement pour sa première exposition à Genève. L’artiste nous propose une balade onirique dans l’histoire de l’art. Ses toiles revisitent les styles des grands maitres de la peinture classique et moderne. L’artiste transcende les styles de ses prédécesseurs en passant par Picasso, Manet ou Rothko, il en résulte une lecture nouvelle mélangée à son empreinte personnelle, caractérisé par des touches picturales très expressives, aux grands gestes de pinceau et à l’aspect volontairement inachevé.
L’artiste cherche à suggérer des formes toujours à la frontière de l’abstraction. Paradoxalement, cette suggestion évoque en filigrane une absence - celle d’une figure manquante que le spectateur est invité à reconstituer. Cette démarche n’a rien de tragique: Klodin Erb ose s’aventurer dans la narration fantastique. Toutefois, le récit se perd au profit d’une juxtaposition de formes où le merveilleux laisse transparaitre une vraie joie de peindre.
Klodin Erb choisit de se mettre en péril. Ses sujets sont si variés qu’on aurait presque l’impression de visiter l’exposition de plusieurs artistes. Ce choix séduit du fait de son caractère inhabituel. Le vertige que l’on ressent en visitant son exposition fait écho à sa volonté de brouiller les pistes, et d’affirmer que dans la peinture tout peut encore se réinventer.
L’artiste transpose au lieu de transgresser. Pour elle, le refus de définir signifie s’ouvrir à d’autres possibilités. C’est aussi le moyen de libérer son écriture jusqu’au paroxysme. Le spectateur est poussé à chercher des repères dans un univers qui n’en a pas. Cet exercice est propice à briser ses propres certitudes et, de ce fait, à stimuler sa propre perception.
Klodin Erb présente une vingtaine de peintures produites spécialement pour sa première exposition à Genève. L’artiste nous propose une balade onirique dans l’histoire de l’art. Ses toiles revisitent les styles des grands maitres de la peinture classique et moderne. L’artiste transcende les styles de ses prédécesseurs en passant par Picasso, Manet ou Rothko, il en résulte une lecture nouvelle mélangée à son empreinte personnelle, caractérisé par des touches picturales très expressives, aux grands gestes de pinceau et à l’aspect volontairement inachevé.
L’artiste cherche à suggérer des formes toujours à la frontière de l’abstraction. Paradoxalement, cette suggestion évoque en filigrane une absence - celle d’une figure manquante que le spectateur est invité à reconstituer. Cette démarche n’a rien de tragique: Klodin Erb ose s’aventurer dans la narration fantastique. Toutefois, le récit se perd au profit d’une juxtaposition de formes où le merveilleux laisse transparaitre une vraie joie de peindre.
Klodin Erb choisit de se mettre en péril. Ses sujets sont si variés qu’on aurait presque l’impression de visiter l’exposition de plusieurs artistes. Ce choix séduit du fait de son caractère inhabituel. Le vertige que l’on ressent en visitant son exposition fait écho à sa volonté de brouiller les pistes, et d’affirmer que dans la peinture tout peut encore se réinventer.
L’artiste transpose au lieu de transgresser. Pour elle, le refus de définir signifie s’ouvrir à d’autres possibilités. C’est aussi le moyen de libérer son écriture jusqu’au paroxysme. Le spectateur est poussé à chercher des repères dans un univers qui n’en a pas. Cet exercice est propice à briser ses propres certitudes et, de ce fait, à stimuler sa propre perception.
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14:00 – 19:00 |
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Ajouté
par Jihanuman le 11 mai 2011