Les pas perdus
Maison de Quartier de la Jonction
- 18bis av. Ste-Clotilde (Jonction) - Genève
-
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- https://www.mqj.ch
De Denise Bonal
par le Théâtre-Atelier Turbulances
Mise en scène : Edmée Croset
Jeu : Catherine Barrut – Serge Boulguy – Joël Danielian – Pascale Escher – Renaud Hirsch Anouk Imhof – Martine Lapp – Elena Michel – Evelyne Varetz et, en alternance, Antonin Bresson et Federico Reichel
"La Gare « débarcadère des volontés, carrefour des inquiétudes » est le personnage principal des Pas Perdus.
La Gare, ce lieu à la fois anonyme et un peu angoissant, prend vie ici comme un grand cœur qui bat au rythme des êtres qui la traversent.
« Les départs qui déchirent le cœur, dit Rimbaud. Ce n’est pas le retour qui éclipse aussi tôt le voyageur qui intéresse, non ce n’est pas le retour,
c’est le départ
Passent et repassent les hommes pressés, les femmes avec leurs enfants, leurs magazines, leurs chats, leurs valises à roulettes, les errants, les fantômes du monde entier, les anonymes couleur de fumée, les fous qui parlent seuls.
Lieu des au-revoir et des adieux, lieu aux histoires meurtries, aux décisions décousues, aux envols vainqueurs, lieu de toutes les souffrances, de toutes les interrogations et de tous les espoirs, lieu des larmes chaudes et des serments hâtifs, lieu des derniers sourires, des paroles qu’on n’oubliera jamais et des baisers donnés pour la vie… » Denise Bonal."
par le Théâtre-Atelier Turbulances
Mise en scène : Edmée Croset
Jeu : Catherine Barrut – Serge Boulguy – Joël Danielian – Pascale Escher – Renaud Hirsch Anouk Imhof – Martine Lapp – Elena Michel – Evelyne Varetz et, en alternance, Antonin Bresson et Federico Reichel
"La Gare « débarcadère des volontés, carrefour des inquiétudes » est le personnage principal des Pas Perdus.
La Gare, ce lieu à la fois anonyme et un peu angoissant, prend vie ici comme un grand cœur qui bat au rythme des êtres qui la traversent.
« Les départs qui déchirent le cœur, dit Rimbaud. Ce n’est pas le retour qui éclipse aussi tôt le voyageur qui intéresse, non ce n’est pas le retour,
c’est le départ
Passent et repassent les hommes pressés, les femmes avec leurs enfants, leurs magazines, leurs chats, leurs valises à roulettes, les errants, les fantômes du monde entier, les anonymes couleur de fumée, les fous qui parlent seuls.
Lieu des au-revoir et des adieux, lieu aux histoires meurtries, aux décisions décousues, aux envols vainqueurs, lieu de toutes les souffrances, de toutes les interrogations et de tous les espoirs, lieu des larmes chaudes et des serments hâtifs, lieu des derniers sourires, des paroles qu’on n’oubliera jamais et des baisers donnés pour la vie… » Denise Bonal."
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20:30 |
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| 022 708 11 70 |
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Ajouté
par michel le 10 février 2008