nventaires, c’est une parole brut: celle du dramaturge Philippe Minyana. Catapultée au coeur du public, Angèle Rougeot (Martine Corbat) fait rire dans sa robe 1954, conçue comme une sculpture mouvante par la plasticienne Muriel Décaillet. Elle chante, émeut quand elle relate ses moments de vie fracassants sous forme d’inventaires. Pour l’accompagner, Julien Israélien, musicien à la silhouette fantasque, crée un univers sonore déjanté. Quand les vannes sont ouvertes,... Lire la suite