On se souvient de La pudeur des icebergs, présenté en 2007. Le nu comme une tenue, six danseurs, leur sueur, organes, leurs cœurs qu’on voyait battre. Daniel Léveillé revient avec Amour, acide et noix (2001): une nudité compacte et puissante pour quatre danseurs. En ouverture, un Sacre du printemps (1982) qui reste une œuvre marquante de son répertoire.
Atelier...
Lire la suite