Ambiguës, malicieuses, politiques : les performances d'Oscar Gómez Mata autour du psychodrame sont d'une souplesse féline. Chacune d'elle est consacrée à une question qui taraude (le pardon, la vérité, etc.), en articulation avec le lieu qui l'accueille. Constatant que chaque maison recèle un drame en ses murs, il visite différents lieux à la recherche du point nodal où son propre récit entrera en résonance. Comme un fantôme traverse les murs, Oscar Gómez Mata fait...
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