Du grec byzantin eikona, image, le mot «icône» se réfère à la fois à l’image religieuse byzantine ou, au figuré, à l’archétype, concept qui a inspiré le titre de cette exposition. Chacun à leur manière, ces trois artistes répondent à cette thématique par le côté emblématique et symbolique des personnages qu’ils peignent ou sculptent. Archétypales sont les figures de Clarence Stiernet qui s’est penchée sur la typologie de l’homme en costard-cravate,...
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