« J’ai fait ce voyage pour m’asseoir avec les morts. Pour parler avec eux dans les pagodes, sur les routes, les rivières… » Rithy Panh dresse depuis 30 ans une immense fresque consacrée au génocide cambodgien, dont chaque étape est une redécouverte du cinéma. Après avoir affronté les mécanismes du Mal (S21, la machine de mort Khmère rouge) ou la figure du bourreau (Duch, le maître des forges de l’enfer), il explore depuis L’Image manquante la mémoire et...
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