Le travail d’Emilie Brout et Maxime Marion s’articule autour du mélange dans nos sociétés des représentations analogiques et numériques, ce qu’une technologie produit sur l’autre et vice-versa en termes esthétique et fictionnel. Ils délèguent par exemple à un algorithme numérique un « found footage » de séquences emblématiques du cinéma (Dérives), ou se servent d’un écran cassé de téléphone comme support d’une peinture à l’huile. Leur pratique...
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