Au départ, il y avait le désir de poser le regard sur une Suisse profondément post-migratoire qui se défend de l'être. Mais après Lampedusa, les foules qui s'amassent aux portes de l'Europe, après les bunkers, après la "Jungle" de Calais, les asiles incendiés, il fallait parler du voyage, il fallait raconter ce qui pousse un homme, une femme, un enfant à tout abandonner, ce qu'ils ont traversé, et ce qu'ils vivent...
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