Son exil devient un livre, ses mots des paroles entre poésie sombre et ironie douce dans la bouche de Jean-Quentin Châtelain mis en scène par Maya Bösch.
À son arrivée en France, il confesse ne connaître que trois mots: Jean, Paul et Sartre. Mais il apprendra, de gré ou de force, la langue de son nouveau pays, pour enfermer ses souvenirs dans sa langue maternelle....
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