A 4h48, elle ne parlera plus. Mais avant de se taire, elle égrène la liste des médicaments à prendre, des rages enfouies et des colères que rien n’apaisera plus.
Ce texte, d’une puissance déchirante, nous heurte aux limites d’un corps et d’une tête devenues à la fois prisons et ennemis. Monologue ou testament, 4.48 Psychose est un texte écrit non pas depuis la folie, mais depuis la détresse, nue. Crié sur le papier juste avant...
Lire la suite