Devant une immense feuille de papier, des pinceaux, des éponges, un peu d’eau et de terre, quelques pots de couleurs et beaucoup d’ocre. Avec la grâce d’une danseuse et la drôlerie d’un clown, Isabelle Hervouët peint la vie à grands gestes. Elle pose un poisson qui devient eau, figurine égyptienne, bonhomme-main, oiseau. Debout, à genoux, perchée sur un seau, elle s’agite, se trompe, se reprend, projette son corps dans l’espace. Âme avec Paolo Cardona d’une compagnie...
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