Nous sommes au bord d’un puits sans fond.
Un corps tombe, une figure déborde, un visage glisse, une langue jaillit, un désir affleure, une danse sombre.
Un trou obscur et lumineux.
La plateforme chorégraphique au bord du vide irrigue de son sang noir les corps et figures métamorphiques de Pasolini. Leur danse et langue sensuelle, véhémente et iconoclaste puise dans le gisement sensoriel...
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