« Ma poésie doit être vue, c’est-à-dire lue, du moins c’est comme ça que je la sens : je n’imagine pas de la déclamer ou de la réciter ou encore de la chanter, qu’il a le toupet de m’annoncer, Claude Tabarini, à l’heure où l’AMR me propose, dans le cadre de son 40ème festival de jazz, une mise en lecture de ses textes ! Il est vrai que c’était en juin 1985 dans les pages de Viva La Musica, dont j’assurais alors la coordination, des fleuves se sont depuis écoulés...
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